• Jack : The Jazz Age (1998)

    En mêlant des influences allant de Scott Walker au Velvet Underground, Jack nous livrait en 1998 un deuxième album riche, vénéneux et romantique (Nico's Children), dans la lignée du sublime « Dog Man Star » de Suede sorti en 1994.

    Les paroles et la voix d'Anthony Reynolds, intenses, sont portées par des orchestrations flamboyantes, mariant le spleen des Tindersticks et le baroque de Divine Comedy (Love and death in the afternoon, 3 o'clock in the morning).

    La ballade Lolita Elle rappelle le meilleur Pulp, et le morceau Pablo est digne de David Bowie période glam.

    On retiendra aussi le sublime My World versus your world, dans lequel les guitares de Matthew Scott  s'aventurent en territoire disco. Un peu comme une descendance illégitime du Moz et de Barry White ...

    Probablement le meilleur album d'un excellent groupe, malheureusement sous-estimé et méconnu, qui livrait des prestations scéniques d'une intensité rare.


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